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Entrepreneuriat : 106 milliards de FCFA mobilisés pour le projet d’appui à l’Entrepreneuriat, au développement des Compétences et à l’adoption Technologique (ECOTEC)


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Le Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson KYELEM de Tambèla a présidé le vendredi 15 mars 2024 à Ouagadougou, la cérémonie de lancement officiel du projet d’appui à l’entrepreneuriat, au développement des compétences et à l’adoption technologique (ECOTEC). L’objectif de ce projet est d’améliorer l’accès des Micros Petites et Moyennes Entreprises du Burkina Faso aux financements, à la technologie et à une main d’œuvre mieux formée.



Le projet ECOTEC a été conçu pour soutenir les Petites et Moyennes Entreprises afin de leur ouvrir de nouvelles perspectives de croissance. Il est le fruit  d’un partenariat solide entre l’Etat burkinabè et la Banque Mondiale. Pour le chef du gouvernement, Dr Apollinaire Joachimson KYELEM de Tambèla, ce projet vient compléter la série d’actions entreprises par le gouvernement pour soutenir les PME, qui ont été durement impactées par les différentes crises au plan national et international. ECOTEC contribuera alors à créer un environnement propice aux affaires et à la promotion des investissements verts à travers l’accompagnement et le financement de plus de 2000 Petites et Moyennes entreprises (PME).

« Grâce à ce partenariat avec la Banque Mondiale, nous pourrons offrir un soutien financier et technique aux PME, faciliter leur accès au crédit, renforcer leurs compétences entrepreneuriales et promouvoir l’adoption de nouvelles technologies. Nous mettons également en place des programmes de formations adaptés à leurs besoins spécifiques, afin de renforcer leur capacité à innover et à se développer dans un environnement économique en constante évolution »,  a notamment indiqué le Premier ministre Dr Apollinaire Joachimson KYELEM de Tambèla.

Le projet ECOTEC a pour principales cibles : les entrepreneurs et les PME, les élèves apprenants, les enseignants et encadreurs pédagogiques, les maîtres artisans, les associations industrielles et structures de formations de formation formelle et non formelle. Le coût du projet  s’élève à 106 milliards de FCFA. Il est financé par l’Etat burkinabè et la Banque mondiale à travers l’Association internationale de développement (IDA). Sa durée est de 6 années.

Le Service d'information du Gouvernement

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